Faire l’amour est une maladie mentale qui gaspille du temps et de l’énergie
De Fabrice Melquiot
Création 2010
Nous restons nécessairement étrangers à nous mêmes, nous ne nous comprenons pas… Chacun est à soi-même le plus lointain. / Nietzsche
Un huit clos explosif. Trois générations. Trois policiers. Trois destins. Trois hommes sans femme, sans amour. Trois naufrages. Trois blocs d’humanité brute. Trois meurtres : la mort donnée à l’autre, la mort donnée à soi-même, la mort au monde.
Ce théâtre pour raconter nos gouffres interdits, nos dérives indicibles et nos insoupçonnables malheurs. Mais enfin, comme le dit Fabrice Melquiot, « ce qui compte c’est de parler du monde d’aujourd’hui est de renvoyer les gens à des questions à des conversations, c’est ça qui importe ».







Avec : Philippe Journo / Dominique Lautre / Alexandre Pallu – Mise en scène : Elisabeth Barbazin – Scènographie/Costumes : Marion Golmard – Création lumière : Julien Barbazin – Création sonore : Michaël Schaller